KILLIAN DE LUMIERE
electro psychédélique
Les premières traces de Killian sur Terre remontent à l’aube de l’humanité, on le retrouve mentionné dans Theravâda en tant qu’élève du Bouddha. Plus tard, dans l’évangile selon St Mathieu où il est décrit errant en Galilée. Socrate l’apostrophe dans un de ses discours et Marc Aurèle le mentionne dans ses mémoires. Bien plus tard, c’est dans le générique de « C’est pas sorcier » que son nom apparaît. Jamy dira de lui : c’était mon collègue préféré après Fred.
Une chose est sûre, son histoire moderne débute avec un terrible accident. Frappé par un AVC en 2020, Killian de Lumière est victime d’une amnésie générale. De ces siècles de labeur intellectuel parmi les plus grands, il ne lui reste plus rien. Pour autant son corps, lui, est intact. C’est alors que le mystique se relève … et il danse. Transporté par l’expérience du corps qui bouge en synchronie avec les vibrations sonores, Killian décide de parcourir le monde pour organiser des cercles de danse mystique.
Notre ami se munit de machines et compose de la musique électronique. Les kicks autoritaires hypnotisent, éveillent les pulsions primitives ; les synthétiseurs enveloppent, voilent le rythme, pacifient ; parmi ces constructions géométriques, une voix traverse parfois la machine et poétise. Sur scène, des pads électroniques pour le plaisir de frapper, un micro pour le plaisir de chanter et de l’espace pour le plaisir d’inviter à danser.
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